- Nice to meet you, dear. -
• Nom & Prénom : Arthur Kirkland.• Age/ date de naissance : 23 années, né un 23 Avril . Jour spécifique puisque correspondant à la fête nationale Anglaise assignée à St Georges. ( Fête nationale, mais pas pour autant jour férié, notez la rigeur de ce pays, et imprégnez-vous en !) • Nation : The greatest country of the world, England. • Phobie/ spécificités : L'apanage même d'un gentleman est de n'avoir aucune crainte et de surpasser toute situation ! Les phobies sont donc à écarter, strictement, du vocabulaire du jeune homme. Pour ce qu'il s'agit de traits prédominants, un terme s'échappe bien souvent des lèvres de l'Anglais, soulignant son sempiternel agacement " baka"... Etrangement, il est souvent attribué à la même personne. • Relations particulières : Les relations conflictuelles peuvent être qualifiées d'habituelles chez ce dernier, tant au niveau de ses frères et soeurs de sang, Wales, Scotland et Ireland qu'il a véritablement perdu de vu, après nombre d'heurs que dans le cas de son frère adoptif America, ce dernier l'ayant délaissé au profit de la liberté qu'il désirait tant. Abandon ayant profondément ébranlé l'Anglais, bien qu'il ne l'admettra certainement jamais. Fierté oblige. En bref, ses relations familliales sont au bas mot, à revoir à l'image de ses liens amicaux rares. Son seul allié et ami véritable se trouve être Japan. Cependant, comme tout à chacun sait, England est assez robuste pour n'avoir besoin de personne ! En outre les êtres féeriques sont d'un soutient précieux.
• Description physique. England, bien loin de posséder une stature imposante par le simple fait d’une musculature déraisonnable ou d’une attitude extravagante, en impose de manière moins archaïque et au combien plus raffinée. Son maintient noble et sa prestance adjoints à son inénarrable assurance opèrent en effet bien plus que tout artifice et lui permettent de capter un auditoire sans grande difficulté. Grand d’un mètres soixante-quinze, il apparait parfaitement dans la norme, ni ridiculement petit, ni démesurément grand. Sa carrure comme précédemment évoquée, bien loin d’être frêle sans pour autant être affublée de muscles saillants, s’harmonise parfaitement avec le reste de ses traits, fins et sempiternellement délicats, rendant sa silhouette légèrement fluette. Son visage pour en parler est, lorsqu’il n’est pas tiraillé par la colère, d’une réelle douceur. Douceur perceptible à qui s’y intéresse suffisamment il va sans dire. Deux iris à l’éclat d’émeraude trônent au centre de ce visage harmonieux, s’y trouvant sublimés par la splendeur d’une chevelure éclatante bien que légèrement chaotique, selon les dires d’un certain Français.. Allez comprendre. Ses cheveux blonds, coupés plus courts qu’ils ne l’ont été par le passé, et se divisant en une pléthore de méches, demeurent pourtant un agrément tout particulier, indéniablement. Il est toutefois aisé de percevoir un détail surprenant chez ce charmant personnage, détail soulignant son regard, l’accentuant même selon son degrés de mécontentement, ses sourcils. Légèrement atypiques, il est véridique de le souligner, ils n’en demeurent toutefois qu’avantageux, puisqu’ils sont un signe distinctif chez ce dernier, n’est-il pas fabuleux d’être spécial et reconnu ? Son mode vestimentaire, enfin. Un gentleman irréprochable tel que ce cher Arthur, se doit d’arborer une garde robe soignée, sans pour autant sombrer dans l’excès ou la faute de goût, et Dieu sait que le goût est une valeur sûre chez l’Anglais. Ainsi est-il pour la majeure partie du temps, habillé d’un costume aux tons écrus, sobriété couplée de sophistication, ou une cravate aux nuances sensiblement identiques est présente. Cependant, sa tenue militaire est diamétralement opposée à ses habitudes vestimentaires que l’on pourrait qualifier de « civiles ». D’un vert omniprésent, s’accordant d’ailleurs avec une infinie justesse à celui de ses yeux, cette tenue apparait resserrée à la taille par le biais d’un centurion et aux chevilles par l’intermédiaire de bottes montantes, le tout coloré de marron. En bref, England est sous toutes les coutures un jeune homme charmant et au bon goût irréfutable. (Le premier qui dit que culinairement parlant ce n’est pas l’extase, connaitra une overdose de Scones !) • Description Morale. Moralement Arthur Kirkland est aussi haut en couleur que le fameux union Jack, sans conteste ! Une telle personnalité et pavée de méandres interminables et ardus à coucher sous papier de façon satisfaisante. Parfois contradictoire, parfois irrémédiablement obtus, souvent d’une justesse implacable son comportement peut ainsi vaciller de contenance à sarcasme, de pondération à colère en l’espace d’une seconde ayant vu filtrer un commentaire désobligeant. Dressons la liste de certains points de ce caractère changeant et attachant. -Colérique : C’est un trait frappant. Le jeune Anglais s’enflamme aisément, et ce à la première provocation suffisamment contondante. S’en suit directement une verve épicée à l’encontre de son infortuné offenseur. Car oui, bien loin d’être délesté de ses moyens par la colère, les arguments fusent lorsque cette dernière l’imprègne suffisamment. Les termes s’extrayant de ses pensées allant progressivement crescendo quant à leur tournure désobligeante, ne restant guère longtemps cantonné au simple et presque affectif « baka ». Poussé dans ses derniers retranchements pas un afflux de critiques, ébranlé dans son honneur ou simplement dans son ressenti, Arthur peut même en venir au mains. Loin d’être bagarreur, il sait toutefois se défendre comme en atteste ses nombreux affrontements et querelles avec son ennemi de toujours, France. N’est-ce cependant pas là une preuve de son émotivité ? Pour réagir impulsivement, il faut être affecté… -Fier: Sa fierté est indéniable. En tant que représentant d’une nation au prestige sans borne, ayant porté en son flanc la piraterie et sa splendeur, England se doit d’en revendiquer le mérite. Chose qu’il ne tarde jamais à faire, et qu’il défend envers et contre tous. Cette même fierté le dissuadera constamment de manifester quelconque sentiment, ou d’admettre une faiblesse. Demande d’assistance et aveux de peine inclus, cela va de soit. England ne se plaindra jamais, et n’avouera jamais à son subconscient même qu’il est attristé. D’où ses réaction impétueuses suite à certaines remarques d’America, ne se résolvant à admettre que son petit frère lui manque, au fond… Ou pas. -Ingénieux : Nombre d’inventions portent la marque du Royaume-Uni de par le monde, ainsi l’inventivité de ce dernier est attestée sans la moindre nuance. Grand inventeur, il paie parfois les frais de ses propres expérimentations, tout en omettant rigoureusement de s’avouer vaincu ! Ses talents reconnu en matière d’infiltration sont également à souligner en tant que preuves supplémentaires de sa justesse d’esprit et de ses qualités d’adaptation. Sa répartie ne faisant quasiment jamais défaut souligne davantage encore sa présence d'esprit irréfutable. L'Anglais est sans conteste doté d'une réelle intelligence allant de paire avec une subtilité s'avérant parfois piquante. -Assuré. C'est le moins que l'on puisse dire. Arthur, fort d'une fierté préalablement évoquée et porteur d'un caractère se voulant fort, s'avère sans grandes difficultés apte à indroduire -voir à imposer- son opinion au sein d'une situation. Cette assurance, cette confiance en soi purgée de tout doute envahissant, est un atout précieux quand sonne l'heure de faire valoir ses idées, et idéaux. Car, en tant que Gentleman, England représente la convenance même, n'est-il pas ? Alors, autant le laisser s'exprimer, que diable ! ( dans tous les cas, il s'octroiera la parole au moment venu, soyez-en sûrs.) -Combatif. Ne jamais rompre peut être considéré comme son crédo. Sa détermination n’a d’égal que son opiniâtreté, ainsi est-il plus commun de voir une avalanche de neige en pleine saison estivale que de voir ce dernier abandonner une idée, se parjurer ou simplement accepter d’être surclassé. De la plus infime des broutilles à la plus immense des résolution, tout doit suivre ses attentes. Cependant, cela induit naturellement nombre de sacrifices et de pénalités. Sa combativité l’épaule également en cas de désarroi, et là encore l’aide à surpasser certaines épreuves douloureuses, le hissant parfois là ou d’autres ne seraient jamais arrivé par faute de vaillance. On ne peut en aucun cas lui retirer son ardeur à la tâche et sa détermination. -Calme.Voilà tout le paradoxe de la situation, et en quoi le personnage est bipolaire. Autant ce dernier peut aisément être qualifié d’irascible, autant Arthur affectionne réellement le calme -D’ailleurs si la solitude ne le pénalise pas totalement, c’est car elle est accompagnée d’un semblant de cette même sérénité.- En outre lorsqu’il n’est pas poussé à l’emportement, son attitude se veut extrêmement posée, et réfléchie. Tasse de thé en main, ne laissant s’échapper que quelques remarques justifiées ci et là, England demeure là encore, jusqu’à l’affront, tout à fait pondéré et agréable à côtoyer, pour qui affectionne comme lui la beauté du silence. Il lui est agréable de s’adonner à la lecture durant de longs instants par exemple. Cependant, ce calme si cher à son cœur n’est jamais maintenu bien longtemps par son charmant entourage. Ainsi s’énerve t-il, conformément à ses vieilles habitudes, et ainsi le cercle vicieux débute, le bruit engendrant.. Le bruit. Pauvre de lui. -Fraternel.Malgré cette carapace faite d’emportement, érigée par les épreuves de la vie, les déceptions et les abandons. Arthur est sans l’ombre d’un doute un être bon, et qui contrairement à ce que l’on pourrait croire de prime abord, s’avère aimant, chaleureux et protecteur. La preuve la plus concrète de l’existence de cette bonté d’âme, est l’affection que ce dernier nourrit envers son petit frère America, petit frère qu’il s’est juré de toujours protéger, malgré les épreuves pouvant se dresser sur sa route, malgré les travers qui pourraient l’assaillir. Une preuve même d’abnégation envers les rares êtres lui étant chers. Il fut également un temps, ou Arthur n’occultait en rien cette facette de douceur, s’occupant avec attention et tendresse de son frère adoptif. Cependant, la meurtrissure laissée par son départ l’a certainement poussé à nuancer davantage son ressenti, de crainte de souffrir à nouveau. Cette crainte, de connaitre à nouveau la déchirure de perdre un être cher, d’être abandonné a certainement contribué à son renfermement. Toutefois, étant d’une nature foncièrement bonne, England se doit d’avoir recourt à la colère pour ne pas à nouveau sombrer dans l’émotivité, il est possible de le penser. En bref, derrière sa façade tant froide que colérique se cache une réelle bonté, sans nul doute. -Distant.Comme spécifié plus haut, l’anglais adopte une certaine distance, tant pour traiter les affaires lui étant soumises, que pour considérer les individus, à quelques exceptions et degrés de grièveté près. Sans y déceler un caractère misanthrope, l’on peut toutefois remarquer une certaine nonchalance typiquement britannique dans ses agissements, là encore, s’il n’est pas soumit aux brimades. Son sarcasme ainsi que son aspect emporté, jouent également en sa défaveur sur le plan relationnel. Et il s’avère qu’England n’a peu, ou presque pas d’amis, ou même de relations en bons termes. Une certaine gaucherie est donc visible chez l’anglais, qui bien longtemps isolé, il est vrai qu’il lui a toujours été possible de subvenir seul à ses propres besoins, ne sait trop comment procéder envers tout à chacun. Cette solitude à demie choisie, pour ne plus être confronté à la peine, à demie contrainte par l’isolement relationnel dont il est victime, semble toutefois lui peser, bien qu’il ne l’admette naturellement pas ! « Je n’ai besoin de personne, je peux très bien me débrouiller tout seul ! » Indeed. -Sarcastique. Le sarcasme, une arme aiguisée tout autant qu’un bouclier difficile à contourner. Une preuve de lucidité, tant qu’un aveux de désagrément. Arthur l’utilise diablement souvent et l‘on ne peut plus adroitement, lorsque le comportement de ses camarades lui semble trop désinvolte, déplaisant, ou tout bonnement agaçant. Sans masquer le fond acerbe de sa pensée, ses mots la véhicule plus vive encore, avec une adresse toutefois, celle d’une moquerie à demi-mots. -Ou ouvertement formulée, selon l’intensité de la stupidité s’opérant sous les yeux de l’Anglais-. Ce comportement pouvant être qualifié d’hautain accentue plus encore, l’image distante de son instigateur. Il est vrai qu’un tempérament moqueur l’habite du fait d’une certaine sensation de supériorité vis-à-vis de tout à chacun. Sensation, le poussant à souligner les bévues de son entourage. -Ce dernier n’étant pas pour autant plus conciliant envers lui-même.- -Sensible ?Comme préalablement évoqué, ses réaction impétueuses, aisées à recueillir au demeurant, sont d’une certaine façon la preuve d’une fragilité. Fragilité à l’égard des critiques et des remises en cause, parée chez ce dernier par l’apparition immédiate d’une aveugle colère. Touché, il se défend de l’être. Blessé, il le dément. Heurté, il heurte. Cette sensibilité mal abordée, refoulée, est sans nul doute un poids conséquent pour le jeune homme. Quelqu’un est-il toutefois en mesure de faire surgir les bons sentiments l’habitant ?
-Don't look back, Don't you cry no more. -
• Histoire. Jeune Angleterre, les insouciants prémices d’une grande puissance. Ce cher Arthur est-il seulement en mesure de se remémorer l’intégralité de son existence? Les moments ayant égaillé ou assombrit sa jeune enfance ? Il est fort probable que non, tant sa longévité est impressionnante, et tant la richesse de son patrimoine est abondante. Et ce à tel point qu’il ne nous serait pas envisageable d’en faire entièrement le tour. Comme pour tout à chacun les événements marquants, demeurent cependant gravés dans nos songes, tâchons donc, de faire ressurgir quelques tonalités du passé de l’Anglais. Comme toute nation présentement vigoureuse, L’Angleterre ne déroge pas à la règle, enfance a-t-il connu, et vie différente a-t-il mené. En ce temps là, Arthur, tout jeune garçon encore, n’affichait en effet pas cette même distance constante, malgré un caractère sempiternellement épicé, ce dernier n’en demeurait pas moins un enfant innocent et sans grandes défenses. Le territoire britannique connu même en ces moments de jeunesse, une invasion Romaine, se trouvant totalement envahit, Arthur, trop jeune encore pour opposer farouche résistance. Ce dernier n’eut d’autre choix que de vivre sous le joug Romain, en s’y acclimatant certainement, au fil du temps et des concessions. Cette même mécanique perdura jusqu’au départ de ces derniers en 410. En effet, la civilisation Romaine alors confrontée à une pléthore de difficultés, du se débarrasser de ses « possessions » Britanniques, et ainsi le jeune Arthur connu et du pallier, à l’un de ses premiers abandons. Livré à lui-même après avoir été un instant encadré, la jeune nation du affronter nombre de peines et de dangers. En parallèle, à cet instant ses frères Ireland, Scotland et Wales s’éveillaient, et commençaient à s’affirmer. Tiraillé de toutes parts par ceux voulant s’accaparer son précieux territoire, Arthur su faire face, et repoussa avec brio bon nombre de tentatives d’invasions. Son jeune âge ne le dispensant ni d’être vif d’esprit, ni d’être vaillant. Cependant, comme il était légitime de le penser, cette résistance continuellement oppressée vint à faiblir, et Les peuples Anglo-Saxons, prirent possession de cette terre disputée. Bien que farouche défenseur de sa patrie, le jeune Angleterre n’a jamais possédé une âme noircie. Comme en atteste une proximité passée- bien qu’houleuse et tapissée de moqueries- avec son cher et détesté ami, France, le jeune Anglais n’était certainement pas tant belliqueux qu’on s’entend à le croire. Plus encore, il pouvait même s’avérer influençable et prompt à prendre en compte un avis extérieur. Trait de personnalité que France saura, en outre user à son désavantage, et plus d’une fois le jeune Arthur se trouvera piégé par ce blondin, sinistrement plus grand que lui. Sur l’heure. Après avoir connu nombre de suzerains anglo-saxons, le territoire Britannique fut dirigé après 1086 par une poignée d’aristocrates d’origine normande. D’où la banalisation, dans le vocabulaire même d’Arthur de certains termes d’origine Française. En a-t-il simplement conscience ? Si tel était le cas, sans doute les exclurait-il aussitôt de son parler ! Mais les vieilles habitudes ont valeur d’automatismes. Malheureusement, après une période d’un calme relatif, Arthur était encore loin d’être au bout de ses peines et tribulations. Des mésententes au sein même des hiérarchies près du pouvoir, entraînèrent le début d’une guerre civile qui tirailla jeune homme de manière épouvantable. Bien heureusement ce conflit interne prit fin une longue année après son début, soit en 1154. Et ainsi de difficultés en difficultés, le jeune Arthur apprit à s’armer, à se confronter au monde, mais avant tout à s’y faire une place de choix. Le jeune homme n’étant ni d’une nature passive ni défaitiste, il été aisé de voir qu’après ces périodes d’apprentissages, il saurait réutiliser ses acquis et capacités… Une puissance en marche. Arthur, bénéficiant de l’éveil des jeunes gens sortant de l’enfance, sans en être trop éloignés encore, grandissait simplement, gagnant en assurance, en aspirations et en force. Le monde lui tendait les bras, et ne demandait qu’à lui être desservi. Une série de tours de force allait bientôt s’opérer. L’une des premières résolutions du jeune homme fut de rallier le pays de Gales à son territoire, ce qu’il s’employa à faire, bien rapidement. Le jeune frère d’Arthur d’abord réticent, finit par plier avant de littéralement rompre sous l’insistance de l’Anglais. En 1284, le pays de Gales devint une possession britannique, et Arthur connu l’un de ses premiers succès. Succès ne l’endiguant en rien vers la poursuite de son entreprise, vers l’essor de sa grandeur. Voulant étendre cette résolution à ses autres frères, Arthur décida de renouveler son dessein d’annexion et d‘unité, cette fois-ci envers l’Ecosse. Une série de conflits survint bien vite suite à cette décision, et Ecosse s’avéra être un opposant tant conséquent, qu’Arthur du revoir, et corriger ses planifications à son égard, sur l’instant. Le succès fut nuancé, l’opposition grandissante. Mais Arthur, comme toujours finit par s’imposer. A cet instant ou la nation Anglaise commençait à réellement se structurer, à gagner tant en ampleur et en organisation qu’en superficie, un conflit centenaire se profilait à l’horizon, apportant avec lui une rivalité qui traversera les siècles. Angleterre, ne s’attardant guère longtemps sur ses difficultés, tenta, en un pied de nez notable de conquérir un part de la France, France qui précédemment s’était invité à la tête du gouvernement britannique. Du fait de sa progression, Arthur arriva une nouvelle fois à ses fins, et le territoire Français connu la présence active des Anglais. A ce même instant, La langue Anglaise prend le pas sur la Française, dans l’aristocratie. Une défaite tant sur le point militaire que symbolique, aux yeux de France. En 1422 Arthur possède la quasi-totalité du territoire d’un Francis bien moins joyeux qu’à l’accoutumée, la guerre de cent ans fait rage, les deux « amis » se font face par fronts épisodiques, mais non moins blessants, au tribu de leur ancienne entente. La main ne cesse de changer de côté, aux périodes de détente s’en suivent de rudes affrontements, ce moment s’avère sans conteste éprouvant, pour les deux nations.En 1429, Francis refait surface grâce à la célèbre chevauchée de Jeanne d’arc, qui libère son territoire, Arthur se voit contrait de reculer. La guerre s’achève finalement en 1453 sur note d'éppuisement et de mésententes. Les deux européens n'entretiendront plus les même relations désormais. Le 16ème siècle s’imposa par la suite, et pour contraster ce bilan mitigé, en tant que période d’ouverture culturelle et d’apaisement. Arthur découvrit, après avoir endossé l’habit de belligérant, les plaisirs simples et calmes de l’existence, tels que les arts et les lettres, auxquels il se familiarisa sans grand mal, au vu de sa justesse d’esprit. En osmose dans ce climat d’ataraxie, le jeune homme connu un de ses seuls moments de quiétude, cette période glorieuse, souligna en outre l’élargissement du cercle d’influence britannique à l’échelle mondiale, ses arts et coutumes étant copiés à l’identique à l’étranger. Un bémol de taille survint toutefois, et oui dans l’existence centenaire du cette nation le calme est toujours nuancé. Une guerre contre l’Espagne débuta, et les rivalités prirent une autre tournures, comparativement à celles qu’il avait pu connaitre avec Francis. Le temps de la débauche, le temps des aventures, le temps de la piraterie. Après l’enfance, se trouve logiquement l’adolescence et ses bouleversements. Vous savez, cette période où l’on se sent apte à conquérir le monde entier, par la seule force de la volonté. Certains se révoltent, certains s’extériorisent, d’autres encore font vœux de liberté. Chez Arthur, cette période de sa vie peut-être considérée comme cette même envie de renouveau, apanage de l‘adolescence. La santé et le jeune âge, rendent après tout, impétueux et parfois même déraisonnable. Il faut bien que jeunesse se passe, et avoir matière à apprendre de son vécu et de ses erreurs, n’est qu’estimable. Fort de ce sentiment l’imprégnant, suivant les flots au gré de ce vent le guidant toujours plus loin, England n’était plus tout à fait le même. Il faut se l’avouer, durant cette période, l’Anglais fut bien plus rustre, sanguinaire et violent qu’il ne l’est aujourd’hui. -Toute notion gardée, toutefois, il su conserver une certaine correction, britannique.- Les conquêtes, au fil de duels ou de négociations se suivirent et Arthur amassa bon nombre de colonies tant à la pointe du fleuret qu’à celle de la plume. La puissance maritime mise à la disposition d’Arthur était tout bonnement colossale, la première mondiale en ces temps. Le jeune anglais, comme précédemment évoqué se laissa en ces temps fructueux dépasser par l’ivresse qu’est la jeunesse, sa correction s’en trouva égratignée. Francis, n’hésite pas encore aujourd’hui à évoquer cette époque de sa vie, le traitant de « voyou, » de « fauteur de trouble » ou encore de « délinquant ». Un tournant de sa vie était sur le point de lui apparaître, au 17èle siècle au fil de ses conquêtes. Après avoir recueilli L’Inde, le Canada et nombre d’autres contrées, Arthur s’autoproclama grand frère d’Amérique. Ce titre, était tant désiré par l’Anglais, qu’il n’hésita pas une seconde à s’opposer , là encore, à Francis, lui-même intéressé par l’Américain. Un comportement très paternel se dépeignit aussitôt, dans le comportement du jeune homme, immédiatement assagi par la responsabilité qu’incombe d’être un grand frère, un vrai grand frère. Il fit le serment solennel de continuellement veiller sur la jeune nation, n’ayant à l’époque la moindre ébauche de son actuelle superpuissance, et ce malgré tous les travers de la vie, même s’il devait être confronté aux tracas. Et c’est-ce qu’il fit. A l’image d’un père aimant et bienveillant, Arthur s’occupa de son jeune protégé durant de longue années. L’aidant à cultiver sa robustesse, l’initiant à ses coutumes, le préparant à la vie, là encore comme un père le ferait. Durant ces années où Arthur s’occupa d’Alfred, un réel bonheur ne le quitta pas une seconde, malgré les frasques de son petit frère, malgré son dynamisme, ou plutôt grâce à cela, Arthur était heureux. Vraiment, et ce pour la première fois de sa longue vie. Et Alfred grandit, irrémédiablement. La même ivresse qui poussa Arthur à écumer les mers saisit sans doute son si cher Alfred. Ce dernier gagna en distance à son égard, il réclamait sempiternellement son indépendance, il ne voulait plus être un enfant, il ne voulait plus être son petit frère. Toujours ce même terme « Freedom ». Heurtant si douloureusement le cœur de l’Anglais, qui aurait tout donné à son petit frère, de son énergie à son temps. Mais pourquoi fallait-il qu’il lui donne sa… Liberté ? Si cela entrainait son éloignement. Arthur, se sentait affreusement tiraillé. Devant l’éloignement de son protégé, il ne pouvait se permettre que d’impulsives réactions, sa fierté le dissuadant de le supplier de rester à ses côtés. Il en était résolument hors de question. Puis vint le coup de grâce, cette terrible journée où même le Ciel déversait des torrents de sanglots, sans discontinuer. Ce jour dont cauchemarde encore Arthur, cet instant de 1776. Au cours duquel son frère braqua son arme à son encontre, cette journée où Arthur le tint en jouc, mais surtout cette journée où coulèrent sans être réprimée les larmes de l’anglais n’ayant pas pu ne serait-ce qu’effleurer celui qui restait à ces yeux son frère. Alfred était parti. Et depuis cet instant, Arthur ne se comportera qu’avec excès à son égard, avant de masquer sa peine. L’insultant même copieusement à chacune, ou presque de leur entrevues. Toute cela témoignant de sa peine ne pouvant se résorber. Cet abandon, il ne l’oubliera jamais. Cet abandon forgea son caractère. Mais il fallait continuer à avancer, même s’il n’était plus vraiment le même et si la nostalgie l’habitait souvent, c’est-ce qu’’il fit. Il n’aurait en aucun cas laissé sa gloire être estompée, et Francis bien présomptueux en fit de nouveau les frais à l’occasion des campagnes Napoléoniennes, qu’il perdit face à Arthur lui étant désormais bien supérieur. La défaite de Trafalgar fut cuisante. ( Thanks Nelson.) Attaquer le premier empire maritime mondial par les flots n’était pas véritablement judicieux. Et les conflits mondiaux survinrent. Ironie du sort, Arthur rejoignit à deux reprises le camp des alliés, y retrouvant Alfred et Francis… S’ennuyer était impossible à imaginer dans ces conditions, sans nul doute. Et durant ces deux fois-ci, Arthur fut d’un secourt précieux à son ancien rival, France. Lui portant une main secourable et consentant même au bombardement de sa capitale pour l’en protéger. Des relation moins tendues semblaient réapparaitre entre les deux hommes, à la lisière d’une amitié-haine. Quant à Alfred… Et bien, Arthur et lui lancèrent nombre d’opération conjointement, malgré nombres de mésententes et de manque d’extériorisation de son ressenti chez l’Anglais. Arthur joua sans nul doute un rôle majeur quant à la victoire des alliés, et ce durant les deux conflits, grâce à sa puissance militaire et à son génie stratégique.
-Remember my name, 'cause you'll see me again. -
• Surnom.Vous pouvez m'appeller comme vous voulez. • Comment avez-vous connu le forum ? J'ai suivis une fée, elles ne se trompent jamais ! • Choses que vous appréciez/détestez ?Ahem.. Question piège ? • Anything to say ? America-Baka ! -A trop l'habitude-
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