Meet awesome Prussia~.

Un regard plein de fierté se montre sur un visage pâle. Les yeux rouges brillent contentement. On est le pays le plus fabuleux - et le savoir, ce sentiment est seulement incroyable. Le Royaume de Prusse va vivre pour l’éternité ! Gilbert se regarde dans le miroir et sourit. Tout est parfait.
Alors… pourquoi la solitude ? En articulant un soupir plutôt triste, il regarde les nuages gris au ciel. Qu’elle est la raison pour cette impression vraiment contraire ? Et quoi faire maintenant ? – Rien…
~Je ne suis pas seul. Je n’ai simplement pas envie de téléphoner à quelqu’un~, se dit le Prussien et revient pour se regarder soi-même. Pendant une seconde, il avait l’impression de voir quelqu’un d’autre à côté de lui dans le miroir. Mais il s'était trompé.
Le Prussien hoche la tête et quitte ce miroir mystérieux. Il ne veut voir personne à ce moment-là. Dans cet instant simplement parfait~

Enfin chez lui et totalement trempé par la soudaine pluie, Ludwig posa sa sacoche en cuir sur une des chaises de la cuisine, il avait encore du travail à faire, mais ce qu’il avait surtout envie c’était du repos et rien que ça. Allez, pour une fois, il allait reporter sa corvée à demain.
Il rangea chaussures et vêtements. L’Allemand regarda tout autour de lui, inspecta le salon, la cuisine et les meubles. Un des chiens se prélassait sur le canapé, le jeune homme d’un œil sévère mais doux à la fois vérifia que l’animal s’était bien installé sur la serviette que Ludwig avait mise pour pas que les poils envahissent le canapé. Ouf, le toutou était bien dessus.
L’Allemand retourna de nouveau dans la cuisine et saisit un tablier rose, avec des petits Gilbirds dessinés dessus, un balai et un chiffon. Ludwig s’était mis en mode ménage car aujourd’hui, son frère était là et quand son frère est là, il doit souvent faire le ménage dans la maison. Mais aujourd’hui il fut agréablement surpris par l’odeur de propreté que dégageait chaque pièce.

Ludwig pensa allez dire bonjour à son frère, comme ça en même temps il ferait de ménage dans la chambre. Il se dirigea vers les escaliers puis la chambre de Prusse, mais il n’entendait rien. Son frère devait surement dormir. Ludwig n’osa pas rentrer et décida de passer une prochaine fois.
L’Allemand fit le ménage dans le plus grand des silences : il nettoya les traces qu’il avait mises au sol, un coup sur le canapé, les meubles, le plan de travail de la cuisine. Il avait vite fait le tour. Ludwig emporta tout ses outils au 2ème étage. Il s’était aperçut au passage que ses cheveux étaient encore mouillés à cause de la pluie qu’il avait reçu tout à l’heure sur la tête, ce ne l’avait pas spécialement dérangé jusque là et il avait juste à faire la chambre de son frère, après il pourrait se laver les cheveux, les sécher comme il faut et en prendre soin comme à son habitude.

Le blondinet toqua et entrouvrit la porte en chuchotant :

-Ich komme dran. Nur für puzten.

Il ne vit personne sur le moment; Prusse n’était pas devant son ordinateur entrain de jouer ou mettre des photos compromettantes de Ludwig sur son site. Il n’était pas non plus dans son lit. L’Allemand en déduit qu’il pouvait rentrer et commencer le ménage. Il vit son frère devant un miroir plus loin tout au fond de la pièce. Allemagne partit très vite à un autre endroit de la grande chambre, il ne voulait pas que son frère le voit dans le miroir. Le Prussien quitta le miroir, Allemagne lui demanda :

-Ich habe gar nicht gewüsst dass du hier war. Ich habe gedacht dass du schläfst.

Ludwig remarqua quelque chose de presque anormal…

-Bist du … traurig ?

Il osa demander à Gilbert cette chose qui lui était quasi inconcevable dans le caractère de son frère : la tristesse. Enfin, il aura tenté, il avait surtout un mauvais pressentiment de la réaction de son frère. Il sentit un quelque chose lui piquer la tête… il passa une main dans ses cheveux humides et surprit Gilbird d’essayer de nettoyer ses plumes avec l’eau qui gouttait de ses cheveux.

"Piouuu piouuu ! "

Gilbert se retourna et directement dans ce moment, il écouta la voix de Ludwig. Alors, il y avait quelqu'un qui était là. Mais dans cet instant, le Prusse ne réalisait pas. Il était toujours un peu absent en réfléchissant sur soi-même. Et la solitude.

Il n'a aussi pas remarqué, que Ludwig était entré dans la chambre... Combien de minutes il était déjà là ? Pour un moment, il le regardait silencieusement et hochait la tête en répondant à sa question.

« Nein. Warum sollte ich nachmittags schlafen ? », en disant, il regardait Ludwig un peu confondu. Il était vieux, oui, mais pas si vieux. Il l'encore regardait, jusqu'à ce qu'il se détourne.

Enfin seulement parce qu'il était vraiment choqué. Pourquoi peut-il savoir, comment il se sentait ? D'accord, il était son frère, mais en dépit de tout le Prussien ne pensait pas que ça pourrait être si obvie qu'il sentait un peu...seul.

« Nein. Ich doch nicht. Alles okay, Mann. », répondit Gilbert en souriant un peu contraint. Il tapa lui sur l'épaule, pour souligner que tout était bien.

En souriant faible, quand Gilbird s'assoirait sur la tête de Ludwig, le Prussien s'approcha un peu, pour prendre son petit oiseau dans la main. Plus proche de lui, il toucha par hasard ses cheveux mouillés.

« Du hast ja ganz nasse Haare ! » constatait Gilbert et jeta un regard à Ludwig.

(J'ai commencé d'essayer d'utiliser le passé simple - je n'ai pas vraiment appris à l'école et j'espère qu'il n'y a pas trop de fautes. Est-ce que je dois traduire l'allemand?)

Son frère restait silencieux et hochait seulement la tête. Le silence confirmait les doutes d’Allemagne : il y avait quelque chose qui n’allait pas, déjà le Prussien ne s’était pas jeté sur son frère en hurlant, ce n’était pas normal.

« Nein. Warum sollte ich nachmittags schlafen ? »
-Weil… du… die ganz Nacht Videospiel gemacht hast. Oder wie Italia, ein siesta~ machen.

Un ange passa (= c’est un silence qui peut apparaître pendant une conversation, c’est souvent un silence qui peut être gênant).
Son frère se retourna. Ludwig fut prit d’un soudain malaise. Il avait dû dire quelque chose de mal.

« Nein. Ich doch nicht. Alles okay, Mann. »

Suivit d’un sourire et d’une tape sur l’épaule un peu molle mais Ludwig faisait confiance à son frère : si il le disait c’est que ça devait aller. Enfin… le jeune homme se souvint : alors qu’il était encore un petit enfant, son frère n’était d’autre que le grand empire de Prusse. Malgré les difficultés que son frère avait rencontrées, il les lui cachait. Au fil du temps (=im Laufe der Zeit), Allemagne avait apprit le connaître, son caractère, ses manies (= die Manie oder die Macke, ich weiße nicht wer ist der bestes ><), maintenant, on va dire qu’il le connaît quasiment par cœur.

Ludwig fut surpris par le geste du Prussien qui récupérait son oiseau. Il en lâcha le balai et rougit en marmonnant des excuses.

« Du hast ja ganz nasse Haare !“

-Na ja, es regnet draußen. Ich gehe jetzt mich die Haare waschen!

Il posa toutes ses affaires encombrantes et partit dans la salle de bain. Il se passa les cheveux sous le robinet, les ébouriffa. Il prit une serviette et se les sécha. Vient ensuite la séance coiffure, cette scène ne sera pas décrite car le secret des cheveux plaqués en arrière sans que cela puisse paraître gras ne sera pas dévoilé.
Ludwig revint vers son frère, passa une main dans ses cheveux propre.

-Ok, ich habe die ganz Nachmittag frei. Was willst du machen? Kino’s gehen? Bowling spielen? Oder willst du etwas allein machen ohne deinen Bruder. Wie du willst. Ich komme gleich.

Le jeune homme prit ses ustensiles de ménage (=des affaires/ das Utensil) et alla les ranger. Au cas où son frère pouvait, en guise de réponse (=für antworten), hurler dans l’escalier. Ludwig pensa au repas du soir, il avait oublié de demander à Gilbert si il voulait quelque chose de particulier à manger, pour cela, le jeune allemand devait s’y prendre à l’avance. Mais il avait aussi une autre idée. Il revint au 2ème étage, tout en montant les escaliers, il demanda de nouveau :

-Ich habe vergessen! Was willst du essen dieses Abend? Wir können auch in ein Restaurant oder Bar gehen nach. Ich will … nein, vergessen.

Ludwig se posta devant la chambre de son frère.






[hrpg: pour les traductions pas besoin, enfin, si il ya des lecteurs qui veulent que ça soit traduit, qu'ils demandent! o/ mais pour ma part ça va je comprend ^^
Sinon en général je trouve ça bien =D souvient toi: imparfait=description de l'action / passé simple=c'est l'action ex: Il prit(=c'est une action, elle fait avancer l'histoire) une chaussure qui était(=était décrit la couleur de la chaussure) noire.
J'ai dû faire des fautes par contre... j'ai pas bien relu..

Pour les expressions tu peux aussi utiliser Larousse:http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais-monolingue
Zum Beispiel: un ange passe, du suchst: ange und dann:http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/ange ; du klikst auf "Expression" unter "Définition" und du hast die Ubersetzung von allem der Redensart mit Angel. In Französe ]

[hrpg : D’accord. Je vais laisser tout en allemand, jusqu’à qn demande la traduction. Merci … ce sont des règles vraiment pratiques. À l’école nous n’avons presque rien appris concernant le passé simple, parce que nous ne l’ont jamais utilisé. Ma prof voulait seulement que nous comprenions ces verbes.
Un peu de fautes en allemand, mais pas de grave.
Merci pour le site ! C’est vraiment utile ( : ^^]

~~~

« Ja, stimmt. Naja, hab ich aber nicht. Ich hab sowas nicht nötig, ich bin awesome »

...répondit Gilbert et regarda son frère fièrement. Il n'avait rien fait, mais il était toujours fier de soi-même. Et il avait besoin de montrer Ludwig, que tout était normal. Il n'avait aucun problème. Gilbert ne voulait pas que Ludwig se fasse des soucis à cause de lui. Ludwig restait si sceptique, jusqu'à ce moment à ce que Gilbert commençait à sourire. Il avait l'impression que Ludwig lui connait très bien, parce qu'il va remarquer ses problèmes et soucis.

Puis, quand Ludwig était tant surpris qu'il lâcha tomber le balai et devint vraiment rouge, Gilbert commença à rire. Oublié tous ses problèmes, le prussien n'était pas une personne triste.

« Ludwig, warum wirst du gleich so rot ? », il demanda en souriant un peu suffisant, mais Ludwig était déjà disparu.

~

Gilbert retourna dans la chambre et commença à jouer un jeu dans l'ordinateur pour ne pas se souvenir qu'il fût seul.

Quand Ludwig revint, Gilbert ne réagit pas tout de suite. Il remarqua seulement que quelqu'un était en train de parler et avant qu'il pourrait donner une réponse, Ludwig était déjà disparu pour une deuxième fois.

« Kino klingt gut ! », en hurlant, Gilbert réfléchissait déjà, quel film on pourrait regarder.

Puisqu'il se sentait si isolé, il voulait faire quelque chose avec Ludwig pour ne pas passer l'après-midi tout seul. Il se rendait compte qu'il n'était pas si seul, que son frère était là ... dans cet instant il regagnait sa bonne humeur.

Il s'occupait de lui et il ne devait rien faire. C'était vraiment gentil. Gilbert se retourna et regarda Ludwig en souriant content.

« Wir können ja nach dem Kino was essen gehen. Und was hast du vergessen? », en disant il le regarda curieusement.

Un sourire de Prusse mettait de bonne humeur la jeune nation. Son frère voulait allez au cinéma. Allemagne se demanda qu’est ce qu’il pouvait bien avoir à l’affiche aujourd’hui. Il sourit et répondit :

-Ich komme gleich.

L’Allemand descendit une nouvelle fois, il prit son ordinateur portable (sein laptop) et l’alluma. Il remonta dans la chambre de son frère avec, prit une chaise et s’assit à côté de lui. Ludwig rechercha un film sympa. Il réalisa que ses goûts et ceux de son Bruder était totalement différents. Lui il aimait plutôt les histoires à eau de rose (Kitch Geschichte) et Prusse plus de l’action. Allemagne soupira, est-ce qu’il existe un film avec ses deux caractéristiques ? Il déroula toute une liste de film, la plus part provenait de chez Amérique. Ludwig avait même trouvé un film où Alfred jouait lui-même le héro dedans. Il aurait du s’en douter. Il en chercha un autre et commença à faire une petite liste.
Au bout d’une vingtaine de minute, Allemagne avait réussis à regrouper quatre films : 2 romantiques et 2 autres d’action.

-Es war alles dass ich gefundet habe. Also.. oder… wenn du willst etwas anderes sehen.

Pendant qu’il laissait le temps à Gilbert de faire son choix, où d’aller voir si il n’y a pas un autre film que ceux dans la liste, Allemagne réfléchissait à où est-ce qu’il pourrait allez manger après le film. Il avait en tête que pas loin se trouvait un petit bar-restaurant. Il se souvenait car un jour il avait bu deux trois bières là-bas et les trouvait très bonne. Bien, il savait où aller à présent. Mais en ce qui concerne du film…

-Hast etwas ausgucken ?

Il sourit, rare sur son visage, mais ça lui faisait plaisir de prendre du temps avec son frère. Ce n’était pas souvent. Il était plutôt accaparé par son travail (belegen bei seinem Arbeit) et en avait par-dessus la tête des querelles (Streit) des autres. Il avait besoin de changer d’air et son frère, même avec toutes les bêtises qu’il pouvait faire, avait le pouvoir de lui faire penser à autre chose.

Maintenant il était question de lui demander si Gilbert voudrait bien des….

-Ahm, ich wöllte dir fragen ob du… willst Brezel oder ein Stollen?

Allemagne était plutôt doué dans le domaine des gâteaux, de la pâtisserie. Cela le gênait un peu de demander, il n’aimait pas trop, il préférait quand ça venait de lui-même.


[Geht es? Ich habe total vergessen was Ludwig wöllte sagt zu Prussia >o< ]

En attendant que son frère revienne, la Prusse réfléchira quel film on pourrait regarder. Il aimait vraiment des films de l'action, parce que c'était vraiment intéressant. Les autres films étaient plutôt ennuyeux à son avis, parce que rien ne passait. Un bon film devait être turbulent et bruyant.

Ludwig reviendra et posa son ordinateur potable sur la table. Gilbert regarda sur son épaule. Il ne discuta pas, mais en disant quelquefois 'oui' et 'non' il exprima ses intérêts clairement. Après quelques minutes ils avaient fini avec leur liste.

« Hmmmm... keine Ahnung », en disant, il regarda de nouveau les titres des films Ludwig avait trouvé. C'était compliqué de se décider. Enfin, il ferma les yeux et mettra son doigt sur un des titres par hasard. Il ouvra les yeux de nouveau.

« Okay, den nehmen wir », il dira contentement, parce que c'était un film de l'action et réalisa le sourire au visage de son frère. Tout était parfait... il se rejoua déjà d'une bonne soirée.

Gilbert relira la description du film encore une fois pendant que Ludwig lui demanda qu'est-ce qu'il voulait manger.

« Eine Brezel und ein Bier. Wir können das ja mitnehmen », répondra Gilbert en souriant. Normalement, ce n'était pas permis d'emmener ses aliments au cinéma, mais c'était égal à son opinion. Il se leva et mettra son blouson.

« Bist du fertig ? Können wir los ? », il demanda et alla déjà chercher la bière et les bretzels.

Un ange passa, aucun des deux n'arrivaient à se décider sur un film. Au final, son frère choisit un film au hasard. Il était tombé sur un film d'action. Allemagne se frotta le menton comme pour réfléchir. Bon, pourquoi pas un bon film d'action, ça me changera de mes romans à l'eau de rose.

-Na ja, warum nicht. dit-il en souriant

Il eu sans plus tarder sa réponse: son frère voulait une bière et un bretzel. Il sourit une nouvelle fois: c'était bien son frère ça! Mais ne s'attendait pas à la suite de de la phrase...

-Moment....Was? Mitnehemen? Aber es ist total verbotten!

Le jeune homme était très à cheval sur les règles*, il fallait acheter à l'accueil pour pouvoir consommer. Et en plus, boire des bières au cinéma étaient interdit!

-Nein. Kein Bier. Aber wir konnen ins Kino Brezel kaufen. Ich habe genug Geld für das.

Il restait ferme sur ses propos, même si son frère devait piquer une crise ou se rouler par terre. L'allemand sortit de la chambre, puis revint sur ses pas:

-Vorbereiten dich. Wir gehen in 5 Minuten mit dem Auto, du kannst fahren, wie du willst. Und nicht mit dir bringen ein Bier in heimlich!

Il fit les gros yeux, Ludwig savait bien que son frère n'allait pas s'arrêter là pour apporter en cachette des bières. Il se demanda, en allant vers l'entrée pour prendre son manteau, quels tours (=Trick) allait encore utiliser Prussia pour ramener des bières au cinéma.
Allemagne fouilla ses poches et prit les clés de la voiture. Il sortit dehors et ouvrit le portail, il revint vers la voiture et monta dedans. Il la démarra puis effectua une marche arrière pour sortir de chez lui. Maintenant il fallait attendre Prussia. L'allemand éteignit le moteur et sortit de la voiture.

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*auf dem Vorschriften sehr streng sein

Gilbert restait dans la chambre en cessant de chercher de la bière, parce que son petit frère avait dit que ce serait interdit à l'emmener dans le cinéma. Quel dommage.

« Na gut. Dann lass uns danach ein Bier trinken gehen », proposa le Prussien enfin. Mais il le trouverait meilleur, s'ils pouvaient boire une bière ensemble pendant regarder le film. //Pourquoi doit-il être toujours si strict ?//, Gilbert se demanda en regardant Ludwig. Mais en fait, il était fier de lui. Très fier.

Ludwig interdira aussi d'emmener des bières clandestines, mais Gilbert seulement sourit. Quand ils iraient boire de la bière après, il n'y aurait pas de problème. Il accepta enfin.

En prendre son manteau il se décida que sans bière ce ne serait pas si intéressant. Caché dans son manteau, personne ne serait le remarquer. Il sortit finalement et s'assit à côté de son frère qui partit déjà.

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Pendant le film Gilbert s'amusa bien. Après quelques minutes, il pensa à sa bière dans son manteau.

« Schau, was ich mitgebracht habe. Keiner hat es gesehen und keiner wird es sehen », en disant il ouvra deux boteilles et donna une des deux à Ludwig.

« Prost, Bruder! », il souhaita et prit une lampée.