Hetalia Reality Show [tour 2]

Passons du coq à l'âne, ou plutôt de la mouette au daim... Maintenant que le râleur professionnel et le pizzaïolo enjoué ont quitté la partie, nos concurrents ont pris le premier avion pour l'europe et ses splendides forêts !!! Les douces senteurs de sapins, de mousse fraîche et de défections de sanglier leur emplissent les narines alors qu'ils profitent de cette belle journée pour partir en randonnée. Vont-ils cueillir des champignons, sniffer du pistil ou jouer avec un grizzly sorti d'hibernation? C'est à eux que revient votre satisfaction, cher spectateur !

Nos participants toujours en course :
Grèce, Canada, France, Chine, America
Ainsi qu'un invité surprise à qui nous avons offert l'immunité totale, et dont le but sera d'ajouter un peu de piment à cette promenade sereine!

Consignes :

-Respecter le cadre qui vient d'être posé.

-Interagir avec au moins un animal sauvage (écureuil, cerf, sanglier, grizzly...).

-ne JAMAIS utiliser la lettre P (mais si, c'est ~~possible~~ faisable). Tout en écrivant des mots entiers, bien entendu. Pas de " -ikachu est un -okémon de ty-e electrique". Même si cette phrase n'aurait foncièrement rien à foutre ici, mais vous m'avez compris.

Il y a de l'avoine et du maïs, c'est un véritable délice, c'est maple, maplement ...
Nous revoilà sur l'écran !!! Bonne chance à nos concurrents !!!!

C'était une belle journée qui venait de commencer. America avait quitté les bienfaits du sable afin de rejoindre la forêt. Oui, la forêt avec tous ces arbres et cette verdure et surtout tous ces animaux. Il s'était bien amusé en Australie et était donc enthousiaste, qu'est-ce que la suite de cette émission allait lui réserver ? Des rencontres inattendues ? L'amour avec un A majuscule ? Ou juste quelques chênes ? Sous doute le dernier cas, même America ne se faisait aucune illusion. Ce qu'il le dérangeait franchement en aucune manière. Où se trouvait exactement l'Allemagne en faite ? En Océanie ? En Asie ? Ouais, sûrement que c'était une nation à coté de la Thaïlande et de la Mongolie. Dans ce sens, America arriver à concevoir la relation entre Allemagne et son ami Kiku, ils étaient voisins ! Des gens mal attentionnés se demanderait comment il s'est débrouillé afin de gagner la guerre. Des gens comme son boss en l’occurrence.

Dès qu'ils furent sur la terre ferme, il surveilla d'un œil sévère sa nation qui commençait à sautiller d'un air joyeux. Sûrement qu'il ne voulait qu'en aucun cas que l'arrivée fracassante d'America se refasse ici également. Étrangement cette fois-ci Ameria semblait calme (si on considère que sautiller, cela reste du registre du calme)... Très calme même. Ceci ne traduisait rien de bon, comme le disaient si bien les français, il ne s'agissait que du calme avant le cyclone.

Une seconde d'inattention suffit au jeune américain afin de se soustraire à la vue de son chef. Ce dernier sursauta aussitôt dès qu'il évalua la situation. Où s'était enfuie sa nation ? Il se mit tout de suite à sa recherche. Et ce fut donc avec étonnement qu'il le retrouva face à une énorme bête d'une couleur blanche immaculée. Il avait des crocs acérés et des griffes affûtées et son air mécontent ne disait rien de bon sur le futur de notre héros nationale qui se trouvait face à sa gueule. Il était face à un véritable ours blanc. Mais afin de mieux écrire la suite, nous devons tout d'abord nous intéresser à ce qui s'est déroulé quelques minutes avant.

America était heureux d'avoir eu l'occasion de continuer cette fabuleuse émission. Mais désormais qu'il savait qu'il était filmé, son boss lui incomba la tâche d'agir avec subtilité. Ce qui voulait signifier donc être discret face aux caméras. Mais comment combattre sa nature si exubérante ? Mais qui s'en soucie surtout ? Un héros n'agit en aucune manière dans l'ombre. Sauf s'il est vêtu d'une longue couverture noire et qu'il monte en haut des immeubles la nuit venue. Alors qu'il réfléchissait sérieusement à ce qu'il allait faire (ô miracle) afin que son boss soit satisfait, il avança tranquillement sans regarder derrière lui. Il fallut moins de quelques secondes afin qu'America soit volatilisé. Bien évidemment il sortit sa carte du territoire américain mais un oiseau au bec crochu la lui faucha aussitôt. Son réflexe fut d'insulter cette satanée bestiole mais cela ne fit en aucune manière revenir l'animal. Sa colère volatilisée, il se retourna et vous devinez sans l'ombre d'un doute la suite...

- Surtout ne bou...

- Why ? Son acuité visuelle est basée sur le mouvement ?

Quand tes vieux te disaient d'éviter de t'agiter devant une bête féroce afin d'éviter de l'énerver... Il faut vraiment écouter... Car l'immense ours blanc saisit la tête du héros avec fureur,installant violemment ses dents dans soncrâne. Son boss se statufia à la seconde. Quant à America, durant quelques minutes, étrangement il ne lâcha aucun mot. Tant bien que son boss croyait qu'il était déjàmort. Mais tuer un héros était une tâche bien plus ardue. Le jeune américain se mit soudainement à s’esclaffer d'un rire malveillant comme s'il était envoûté.

- Awesome !!! Jamais je n'aurais cru que je croiserai un Kumajirou ici ! C'est incroyable !!! Nyahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahaha !!! Toi et moi on va être amis, les meilleurs amis du monde !!! S'il y a bien une chose que les séries de dessins animées m'ont inculqué c'est l'amitié !!!!

- Heu... Ok... On va dire... Mais que fait un ours blanc ici ?

- … Ma faute... Déclara un gardien de zoo qui venait tout juste d'arriver.

En la mémoire de Knut, dors bien ours blanc allemand !

Aaah, la forêt. Ou chose merveilleusement merveilleuse sur Terre. Si il avait bien un endroit dans lequel Canada était comme chez lui, c'était ces immenses étendues d'arbres. Son boss avait accueilli la nouvelle avec un enthousiasme non dissimulé, tout comme Kumajirou. Bon, il manquait de la neige en grande quantité afin que le tableau soit idyllique ...

Ainsi, lorsqu'il arriva sur le lieu dudit rendez-vous, son boss lui fessa le dos, un air solennel sur le visage. On avait misé sur lui. La nation avait misé sur lui. La Terre entière même. Non, on ne lui mettait aucune tension avec cette histoire. Au fond, le branche majeure de son enfance s'était déroulée dans une forêt semblable à lécher les arbres qui donnaient le fameux liquide sucré doré – l'individu qui a choisi d'interdire THE lettre qui bloque THE mot sur ce qui symbolisait grosso-modo sa raison de vivre est une belle enflure – en faisant ami-ami avec toutes les bestioles des bois, du caribou au grizzly.

Survivre dans un tel environnement était chose aisée venant de lui. Si les gens derrière leur télévision voulaient voir un trek survie hardcore, aucun soucis, il suffisait de lui demander. Il avança sans aucune crainte, Kumajirou dans ses bras afin de retrouver les autres. Adressant un dernier signe de la main à son boss, il s'engagea sur un sentier quasiment absent. Mettre la main sur America serait sûrement d'une facilité extrême. Ce mec aurait une enseigne lumineuse scotchée sur la face que l'effet aurait été le même.

Sauf que notre Canadien, il était comme une héroïne Disney quand il s'y mettait, les chansons en moins. En gros, il arrivait à cousiner avec tous les animaux qui croisaient sa route. Marque bonus si ce dernier était blessé ou rencontrait une difficulté quelconque. Aujourd'hui, il avait commencé avec un castor. Franchement, il serait inhumain de refuser la charmante invitation à jouer avec l'animal emblème de sa nation. Lorsqu'il avait vu la touffe de fourrure brune s'agiter et les incisives meugnones de la bestiole, son cœur de fangirl avait fait un bond et avait fondu tel un marshmallow au-dessus d'un feu.

« Bonjour toi ... »

Le castor – nommé Sidney Crosby comme le joueur de hockey – leva sa frimousse. Allez savoir si c'était l'aura rassurante du Canadien ou un tout autre facteur, mais le castor avait fini docilement dans ses bras à se faire grattouiller le ventre et la queue – il n'y a rien de sexuel là-dedans, du calme France. Kumajiro avait été mis entièrement de côté, ce qui semblait le gonfler dans la mesure où, jaloux sur les bords, il mit une bonne châtaigne dans la jambe du Canadien afin qu'il délaisse son nouvel ami. Crosby s'accrocha malgré tout, vaillamment.

D'ailleurs, il fût bientôt rejoint d'autres animaux. De nombreux autres animaux. Je vous avais averti, lâcher Canada dans une forêt était définitivement une mauvaise idée. Suivi d'écureuils, de cerfs, biches, ours, oiseaux, et surtout, de castors, Canada avait fini de se sociabiliser avec toutes les bébêtes de la forêt en une heure grand maximum. Kumajiro l'avait néanmoins remis dans le droit chemin. Ah oui, retrouver les autres. Il avait totalement oublié.

Il marcha durant quelques minutes avec ses nouveaux amis quand il entendit le rire idiot de son frangin qui était ... Avec un ours blanc.

« On dirait que tu as de la concurrence Kumamulot. »

L'ours en question sembla vexé qu'on le substitue aussi facilement. Non d'un élan, il était le seul ours blanc tout cute qui méritait l'attention, il n'avait nullement besoin d'une doublure de mauvais goût. Quant à Canada, on l'avait définitivement égaré, il faisait mumuse avec un renard, voire davantage si le courant circulait bien entre eux. Non, j'déconne ... Enfin, je crois.

Alfred, je connais ton identité secrète:

Lorsque ce fut à mon tour d'entrer en scène, je me contentai d'observer les alentours.

Des arbres, des arbres, et... oh ! des arbres.
Moi qui ai envie d'olives, me voilà coincé avec des conifères. Quelle chance !

Au loin, la voix désagréable et teinté d'Américain me renseigna sur la direction à suivre. Eh bien, quand il faut y aller...

Je grogne, je grogne, mais je vous rassure tout de suite : je savoure cette ballade inattendue au milieu de cette forêt Allemande, entouré de la nature, quasiment immergé dans ce qui fut l'âge des guerriers Germaniques.

Un bruit se fit derrière moi. Un regard derrière, un regard devant, un à gauche, un à droite...
Dîtes-moi que c'est autre chose que des chats. Je vous en conjure.

Un nouveau craquement. Je m'arrête, les sens aux aguets. Mais qu'est-ce qui va me tomber dessus ? Tant que j'évite l'arbre...

Eh bien non, c'était juste une meute de cerfs et biche en furie qui se dirigeaient dans la direction de la voix de l'Américain. Et je suis juste dans leur chemin. Flûteuh...

M'avez-vous déjà vu courir ? Je vous assure que ça en vaut le coup... Assurément.
Donc, me voilà deux mètres devant, une harde de herbivores derrière. Un bien beau tableau, en vérité, et il faudrait l'immortaliser.

Mais en ce moment, je suis à tout autre chose. Du genre, mettre quelques kilomètres entre eux et moi. Et c'est avec ce but en tête que je débouchai dans la clairière où se trouvait les deux Américains, Canada et USA. Avec un renard et un ours blanc. Dans cet ordre. Et moi avec mes cervidés.

Si quelqu'un a de quoi immortaliser l'instant, qu'il ne se gène nullement. C'en est quasiment comique.

Cessant là ma course, je fus bien vite doublé et blessé et blessé de leurs sabots. Saletés !

Je crois bien que j'aimerais rentrer dans les terres sûres de chez moi.

Ils avaient changé de lieu... Radicalement. Adieu sable et eau marine de l'Océanie et bonjour les arbres et les forêts de ce que les Occidentaux nommaient eux-même "le vieux continent". Néanmoins il était moins vieux que la grande et magnifique Asie.
Ils se trouvaient d'ailleurs chez Allemagne, Chine s'en souvenait comme d'un grand blond et sévère avec qui l'un de ses jeunes frères dont la vieille nation se garderait bien de dire son nom avait lié une amitié.

Chine se baladait dans les bois qui changeaient littéralement de ceux dont il avait l'habitude, ces derniers constitués de bambous et autres arbres exotiques qui donnaient un sentiment de sérénité avec des animaux divers et variés comme ces ours noir et blanc que le doyen des nations trouvait tout bonnement adorables... À la différence d'ici où on avait le sentiment de se faire observer à tous les recoins et d'avoir quelqu'un qui allait vous attaquer... En bref c'était assez angoissant.

- Tu stresses vieil homme ? demanda Shinatty-chan faisant sursauter le concerné.

- Aiyah ! En aucun cas aru ! se hérissa le doyen.

À un moment d'inattention, l'Asiatique manqua de glisser et de se retrouver face contre le sol. Il haleta de soulagement, sauf que son camarade de route le bouscula involontairement et la nation asiatique se retrouva au sol, dans la boue.
Lorsqu'il releva le visage, il se retrouva nez à nez avec un... Un...
Un sanglier.

- AIYAAAAAAAH ! hurla Chine à cause de la frayeur, ce cri risquait d'être entendu à des lieues à la ronde.

Il se releva vivement et se mit à courir suivi de Shinatty-chan.

- Comment on fait maintenant ? demanda ce dernier, vraisemblablement effrayé lui aussi à cause de l'animal qui les coursait maintenant.

- Tais-toi et COURS aru !

C'était sûr et certain maintenant, Chine détestait les forêts d'occident. Celles de chez lui étaient sûres au moins. Lui et Shinatty-chan escaladèrent alors un arbre donnant une belle vue d'ensemble sur la forêt mais les deux hommes ne cherchaient en aucun cas à admirer l'horizon, ils étaient assez ennuyés avec le sanglier.

- Tu as un idée le vieux ? demanda Shinatty-chan.

- Hé bien... Je risque de le regretter aru...

- On s'en fout, notre vie est en jeu !

- Aiyah c'est bon ! Je vais le faire aru...

Yao exhala un moment avant de sauter sur le sanglier et de l'assommer grâce à un mouvement d'art martial. Néanmoins, l'attaque avait été assez violente et Chine craignait le fait qu'il n'y ait aucune chance que l'animal se réveille à nouveau.
Son camarade descendit à son tour.

- Au moins, si on dort là, on a le dîner... marmonna-t-il en effleurant le sanglier avec ses orteils.

- AIYAH ! T'es cruel aru ! Quelle image je vais avoir maintenant aru ?!

« Maudit soit les organisateurs de ce jeu ! » Grommela Francis dans sa barbe, croisant ses bras confortablement enfoncés dans de la fourrure chaude, changement d’environnement ( et donc de climat) oblige.

Le français, bien que ronchon, n'était que légèrement agacé de se geler les miches. Ce qui le troublait majoritairement, c'était l'absence d'autres êtres humains. Au fond, la télévision était constituée quasi exclusivement de cela, il était normal de s'imaginer qu'au moins UN marcheur (autre que ses collègues nations franchement bruyant) se baladerait dans le coin. Et malgré cette logique infaillible, nada, rien, quenouille. Des arbres, des buissons, et de la boue. Francis était même convaincu qu'aucune truffe ne se cachait ici. Le cauchemar ultime. Il resserra instinctivement ses bras autour de lui.

FRRRRSH
France entendit un bruissement au dessus de sa tête. Au niveau de détresse dans lequel il se trouvait, il en venait à souhaiter qu' Edward Cullen saute de l'arbre et lui baragouine des mots d'amours a deux francs six sous. Malheureusement, seul un écureuil sauta en bas du tronc, la fourrure hirsute et l'air agité, quelque raison que ce soit.

« Si tu ne sais communiquer qu'en escaladant les jambes des gens, je te déconseille de venir faire la conversation ; si tu abîme mon manteau je te transforme en caleçon.» Ronchonna Francis, blasé. Selon toute vraisemblance, il était coincé dans cette forêt jusqu'au tour suivant. Il était hors de question de ce montrer social avec une créature des bois si aucun amoureux de la nature ne se trouvait aux alentours.

FRRRRSH.
De nouveau, un bruissement de feuilles retenti à coté du français. Bien décidé a n'être en aucun cas dérangé à cause d'une future descente de lit, ou même une créature humanoïde, Francis fit ce que tout bon français maîtrise avec méticulosité : la fuite...dans une clairière d’où, en tendant l'oreille, il était facile de localiser ses collègues...Amérique, Grèce, Chine, tout le monde était là. France ricana quand il réalisa que tout ses semblables avait rencontrés des bêtes sauvages.

Son rire mourut dans sa gorge quand il sentit un souffle chaud sur sa nuque, emmêlant ses cheveux et l'accablant de terreur.

« Non...c'est terriblement cliché, je refuse de croire cela ! Je suis viril et adorable, je ne veux en aucun cas subir un scénario comme cela !»

Mais, malheureusement, notre ami fuyard aguerri avait bien besoin de ses dons dans l'instant, car quand il se retourna, il vit que la menace qui flottait au dessus de sa tête telle l'arme de Damoclès était un énorme ours, toute dents dehors. Icelui grognait et bavait tout azimut, d'une manière très inélégante si Francis avait son mot a dire. Mais ce dernier ce trouvait dans une situation absconse, et n'avait qu'un seul objectif : sortir son manteau intact de cette forêt horrible.

Francis souffla tout l'air qu'il avait en lui, et lança son attaque à la face de se monstre : la grève. Il fabriqua une affiche en utilisant trois branches et une feuille, et organisa in sit-in a lui tout seul. L'attaque fut inefficace, et l'ours déchira son manteau. Francis se cacha alors en haut d'un arbre, et geint et râla alors jusqu'à s'endormir sur une branche. Une fin de tour bien triste, si on se remémore l'aisance avec laquelle il avait géré sa barque lors du tour ayant lieu en Australie. Oh, eh bien, sa carrière militaire aussi s'était fini sans élégance aucune.

Le second tour de l'Hetalia Reality Show est désormais et officiellement bouclé.
Merci à vous pour ces prestations! Vous avez fait du beau travail...
A l'exception d' America et Grèce, qui ont utilisé la lettre interdite une fois chacun !!!

America a écrit:: Mais tuer un héros était une tâche bien plus ardue.

Grèce a écrit:: Je vous assure que ça en vaut le coup...

Mais c'était difficile, on vous pardonne.
Cependant, rien n'est joué!!! Comme dans toute bonne partie de Loup-Garou de Thiercelieux, nous pouvons viser le record de boucherie, en allant voter pour un troisième concurrent à éliminer! Allez, lâchez vous! On veut du sang! DU SAAANG!!! ... Hem. Bref. Pour voter, veuillez vous rendre ici :
(www)

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