Un voyage au pays des neiges [Pv Russie]

En ouvrant sa boîte à lettre un dimanche matin, Allemagne trouva une enveloppe toute blanche. Dessus était écrit dans une belle écriture dorée son nom. Il haussa un sourcil, de qui ça pouvait bien être ?
Il l’a posa sur la table à manger, bu sa tasse de café et se décida e n fin à l’ouvrir : l’enveloppe contenait une autre enveloppe. Allemagne fronça des sourcils, qu’est ce que c’était ce… il ouvrit la deuxième enveloppe et en trouva une autre plus petite. Un peu énervé, il ouvrit la troisième enveloppe et trouva enfin un petit mot.
Ludwig lut le mot, c’était une invitation de Russia. Il aurait du se douter que son destinataire ne pouvais être que le russe, des enveloppes dans des enveloppes faisaient penser au matriochka.
Il l’invitait à un séjour chez lui en Russie. Allemagne hésita. Il avait encore du travail mais… il repensa à ses frères Saxe et Bavière, ses deux là avaient dans la tête de l’embêter pendant son travail. Il soupira. Le jeune homme prit le mot, alluma son ordinateur et écrivit un mail à Russia pour accepter son invitation.




Quelques jours plus tard, Allemagne se trouvait à Moscou. Il sortit de l’aéroport et hâla un taxi dans un russe très correct. Il avait rendez vous sur la place Rouge. L’Allemand sortit de la voiture, paya la course. Il s’était bien habillé, d’un manteau assez long et chaud, une écharpe et un foutu bonnet que son frère voulait qu’il mette absolument. Allemagne ne soupira rien qu’à la pensée du bonnet qu’il avait sur la tête. En tout cas, il relu le mot, « environ 15h » . Allemagne regarda sa montre avec l’horaire russe, 14h45. En avance et ça le mettait de bonne humeur.

Le temps était magnifique : un beau ciel bleu, de la neige de la veille, le froid était devenu doux grâce aux rayons du soleil. Ca n’allait surement pas tarder à redevenir le froid quotidien russe.
Sur le mot, il était aussi marqué les activités prévues : surement du patin sur la Moskova, découvrir les célèbres bains publics de Moscou… et ensuite la lecture d’Allemagne fut perturbé par un crissement de pneu.
Russie venait le chercher en voiture ? Une ballade en voiture aussi ?


(Hrpg : excuse moi c’est tout petit, je n’avais pas trop trop d’idée de ce qu’on peut faire à Moscou, où si tu veux qu’on aille dans une autre ville ; je me rattraperai !)

Ces derniers temps, Russie ne savait plus trop quoi faire pour s'occuper. Sa soeur n'était, pour une fois, pas en train de lui courir après, et il n'était pas d'humeur à embêter les pays baltes. Il pourrait inviter quelqu'un pour passer le temps. Tient, c'était d'ailleurs ce qu'il allait faire.

Mais restait à trouver qui inviter: Il voulu d'abord inviter China, mais ce dernier aurait sûrement décliner son invitation. Ivan devait donc trouver une autre personne. Le russe finit par se décider et écrit une invitation à l'intention d'Allemagne. Ivan commença donc sa lettre. Après avoir écrit son invitation, il la plaça dans une enveloppe, puis une deuxième, et enfin une troisième. C'est mieux ainsi, Songea-t-il en écrivant l'adresse de son invité sur l'enveloppe.

Quelques jours plus tards, Russie reçu sur son ordinateur un mail d'Allemagne qui acceptait son invitation. Ivan s'en réjouit fort et attendit le jour de leur rencontre avec impatience. Cela le réjouissait d'avoir de a compagnie, même si ce n'est que pour une journée.

Le jour de leur rencontre enfin arriver, Ivan se prépara à recevoir son invité. Il était encore un peu tôt, celui ci devrait atterir dans quelques temps. Ivan se prépara et sortit de chez lui: le temps était agréable, ce qui était plutôt une bonne nouvelle, même si cela n'allait sûrement pas durer. Russie avait donné rendez-vous à Allemagne sur la place rouge, comme ça ils n'auront pas de mal pour se retrouver. C'était bientôt l'heure: Ivan monta dans sa voiture avtovaz grise. Bien qu'elle était un peu rayée sur le côté, elle était encore en bonne état. Il n'y avait pas trop de verglas sur la route, Ivan pouvait donc rouler presque normalement. Le russe conduit jusqu'a la place rouge. Il ne l'avai pas mentionné dans sa lettre, mais il avait l'intention d'emmener l'allemand dans sa voiture et de lui faire visiter la ville.

Ivan pensa être le premier arrivé, mais Ludwig se tenait déjà là. Il arrêta sa voiture près du jeune homme et descendit. Il salua son invité avec un grand sourirr:

- привет, Allemagne! Je suis content d'avoir de la visite.

(Hrpg: Nan mais t'inquiète, j'ai fait plus court je pense en plus. J'espère que c'est pas trop mal, j'ai rarement écrit des RP aussi longs. Sinon, Moscou, c'est un très bonne idée!)

L'allemand vit au loin une voiture grise qui semblait se rapprocher de lui. Une belle voiture russe. Lorsqu'il fut a Baden-Baden dans une des villes riches de la forêt noire, il avait pris l'habitude de voir des riches voitures de marque russe roulant sur les route allemande. Il était fier que la richesse de l'Est venait visiter son pays, au moins il pourrait faire ravaler les belles paroles narcissique de France la prochaine fois qu'ils parleraient de tourisme.

La voiture s'arrêta, une tête qui connaissait bien en sortit et le salua d'un grand sourire. L'allemand se tenait droit, aucune expression apparaissait sur son visage et salua poliment à son tour Ivan:

-Guten Tag Russia. Es freue mich auch gern.

Le ton était moins froid que d'habitude. Signe d'un réjouissement. Il se demandait si Russie avait un programme particulier à faire pendant le séjour. Il avait juste une peur. Une peur secrète de se faire kidnapper par Russie. Mais en ces temps moderne, ce serait déclarer la guerre. Quoi que en réfléchissant bien, l'esprit tordu du russe pouvait allez à l’extrême.

L'allemand monta dans la voiture en même tant que Ivan à côté de lui devant. Il espéra que le russe ne conduisait moins vite que Feliciano~ Enfin il allait voir ça, en même temps, il n'était pas malade en voiture, donc tout allait pour le mieux!

-Où allons nous maintenant?

Il était curieux et impatient de découvrir Moscou, il venait souvent pour des affaires politiques et économiques mais jamais pour du tourisme. Enfin, il cachait son enjouement car le sérieux prônait avant tout.